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Gestion des risques

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Qu'est-ce que la gestion des risques

Il est bien connu qu'un projet ne se déroule jamais comme prévu.
Et bien que l'on essaye de tout envisager à son lancement, il est impossible de prévoir tous les aléas qui peuvent arriver.
Mais inutile d'être fataliste, il est tout à fait possible de mener un projet à terme malgré ces aléas.
La clé ? Détecter et traiter à l'avance les risques qui pourraient perturber le déroulement du projet.
En gérant les risques, vous gagnerez du temps et de l'énergie !
En effet, la plupart des risques (et dérives associées) peuvent être détectés aisément à l'avance.
Et, plus ils sont traités tôt, moins les conséquences sont pénalisantes pour un projet.
Donc en prévenant les dérives vous gardez votre projet sur ses rails et vous éviterez une perte d'énergie et des tensions inutiles.
Lorsqu'un problème arrive, on entend souvent les gens dire : "je le savais".
La gestion des risques est une activité simple et peu coûteuse à mettre en place.
Elle requiert simplement de bons échanges entre les parties prenantes et un suivi régulier.
C'est un "must have" d'un responsable de projet !

Modèles porteurs

Vidéos de formation en ligne (e-learning)



Qui est concerné ?

Le responsable du projet (ou le scrum master) gère les risques.
La résolution est confiée à un responsable de risque (personne ayant la compétence et le temps pour porter sa résolution).

Quelle est la finalité ?

L'objectif est d'éviter au maximum les dérives d'un projet.
La meilleure solution est l'anticipation pour détecter et parer au plus tôt aux impacts des aléas sur un projet.

Dans Kalisseo

Dans Kalisseo les risques d'un projet sont visibles dans une liste appelée registre des risques.
Ce registre contient les risques avec leur description, statut et actions de réduction.
Kalisseo permet simplement au responsable du projet de réaliser une restitution de l'état des risques.

A quel moment le faire ?

La gestion des risques se fait tout au long d'un projet.
Souvent, un atelier est réalisé en début de projet avec les parties prenantes pour les détecter.

Comment le faire ?

D'abord identifier les aléas qui peuvent altérer le déroulement du projet.
Ensuite définir des actions pour réduire le risque ou disposer d'un plan B de secours.
Important : quand un risque dépasse le champ d'action du projet, le responsable du projet doit le remonter à la direction.

Quel volume à gérer ?

Généralement, 5 à 10 risques sont ouverts à un instant donné sur un projet.
En dessous, cela est souvent synonyme d'une gestion des risques peu active.
Au dessus, le nombre trop élevé génère une sur-gestion qui peut pénaliser le projet.
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